Alexis Emmanuel Chabrier 1841-1894

Alexis Emmanuel Chabrier 1841-1894
French Romantic composer and pianist

He was born in Ambert (Puy-de-Dôme), a town in the Auvergne region of central France during the reign of Louis-Philippe. Chabrier came to maturity under the Second Empire, and lived to see three Presidents of the Third Republic, MacMahon, Grévy and Carnot. Such was the political background of the period in which he lived and worked. It is safe to say that politics was far from being a subject with which he was seriously concerned. His father Jean Chabrier was an attorney; and his mother née Marie-Anne-Evelina Durozay, being the most likely source of her son Emmanuel’s marked artistic tastes and temperament. She came from Cusset, near Vichy in the Bourbonnais, bordering on the Puy-de_Dôme, of a well-to-do family, and was brought up in a milieu of some refinement where music and dancing were cultivated and enjoyed as part of a civilized life. While she herself appears to have been a woman of charm and distinction. There is little doubt then that it was from his mother that Emmanuel inherited the softer, more sensitive side of his nature. His childhood nanny Anne Delayre (whom Chabrier called ‘Nanine’) remained close to him throughout her life. He began his music lessons at the age of six; the earliest of his compositions to survive in manuscript are piano works from 1849.

Although known primarily for two of his orchestral works, España and Joyeuse marche, he left an important corpus of operas (including the increasingly popular L’étoile), songs, and piano music as well. These works, though small in number, are of very high quality, and he was admired by composers as diverse as Debussy, Ravel, Richard Strauss, Satie, Schmitt, Stravinsky, and the group of composers known as Les six. Stravinsky alluded to España in his ballet Petrushka, Ravel wrote that the opening bars of Le roi malgré lui changed the course of harmony in France, Poulenc wrote a biography of the composer, and Richard Strauss conducted the first staged performance of Chabrier’s incomplete opera Briséïs.
Chabrier was also associated with some of the leading writers and painters of his time. He was especially friendly with the painters Claude Monet and Édouard Manet, and collected Impressionist paintings before Impressionism became fashionable. A number of such paintings from his personal collection are now housed in some of the world’s leading art museums. Chabrier’s friends from the artistic avant-garde in Paris included Gabriel Fauré, Ernest Chausson, and Vincent d’Indy, as well as painters Henri Fantin-Latour, Edgar Degas, whose ‘Thursday’ soirées Chabrier attended, and writers such as Émile Zola, Alphonse Daudet, Jean Moréas, Jean Richepin, Auguste Villiers de l’Isle-Adam and Stéphane Mallarmé on a trip to Munich with Henri Duparc in 1879. He discovered Wagner’s masterpiece Tristan und Isolde. This event led him to realize his true passion for composition and he quit the Ministry of the Interior in 1880. That year he composed his piano cycle Pièces pittoresques, of which the Idylle greatly influenced Francis Poulenc.
WHEN Emmanuel Chabrier was born in 1841 the century had so far produced only one French composer of real distinction in the person of Hector Berlioz, then aged thirty-eight and already famous as the composer of Benvenuto CellIni, Roniéo et Juliette and the Symphonie Fantastique. Massenet and Faurh were not yet born and Saint-Saëns was a boy of six. While of the rising generation neither Gounod, Franck nor Lab had as yet produced any major work. Nineteenth-century French music, in fact, was still in its infancy and was not destined to attain its full maturity for another fifty years or so, by which time the era of Debussy and Ravel had begun, and with it the birth of ‘modern music’.
While Chabrier was growing up, the musical scene in Europe was dominated by the great figures of Brahms and Schumann, Liszt and Wagner; while it is interesting to note that his life-span of fifty-three years ran almost exactly parallel with that of Tchaikovsky, his senior by one year, who also died at the age of fifty-three. Most critics would be in agreement on this point, the late M. D. Calvocoressi, for example, who had an inside knowledge of French music, called Chabrier ‘the direct forerunner of the modern school’, while Francis Poulenc (1961) has stated that ‘Chabrier represents, with Fauré, Debussy, Ravel and Satie, what is best in French music since 188o. The wise and perspicacious Charles Koechlin, the eminence grise at whose feet have sat so many of France’s leading composers, did not hesitate to declare (1930) that “Chabrier n’est pas seulement un grand musician”.
He succumbed to general paralysis in the last year of his life, dying in Paris at the age of 53.. Although he had asked to be buried near the tomb of Manet, he was laid to rest in the cemetery of Montparnasse.
Chabrier is remembered for his dazzling harmonic colors and his command of orchestral composition. The piano pieces he wrote show much originality and beauty. His many surviving letters give a vivid impression of his character, his ideas and his life.
The conservatoire of music, dance and drama in Clermont Ferrand is named after Chabrier.
Excerpts Emmanuel Chabrier and his Circle by Rollo Myers
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Alexis Emmanuel Chabrier 1841-1894
Romantique française compositeur et pianiste

Né à Ambert (Puy-de-Dôme), une ville de la région d’Auvergne du centre de la France pendant le règne de Louis-Philippe . Chabrier est arrivé à maturité sous le Second Empire, et vivaient à voir trois présidents de la Troisième République, MacMahon, Grévy et Carnot. Tel était le contexte politique de la période au cours de laquelle il a vécu et travaillé. Il est sûr de dire que la politique était loin d’être un sujet avec lequel il était sérieusement préoccupé. Son père Jean Chabrier est un procureur; et sa mère née Marie-Anne -Evelina Durozay, étant la source la plus probable de son fils Emmanuel est marqué goûts artistiques et de son tempérament. Elle est venue de Cusset, près de Vichy dans le Bourbonnais, à la limite de la frontière du Puy-de_Dôme, d’une famille, et a été élevé dans un milieu de raffinement où la musique et la danse étaient cultivés et apprécié en tant que partie de la vie civilisée. Elle semble avoir été une femme de charme et de distinction. Il y a peu de doute alors qu’il était de sa mère qu’Emmanuel a hérité du plus doux et plus sensibles côté de sa nature. Son enfance nounou Anne Delayre (dont Chabrier appelé “Nanine”) est resté près de lui tout au long de sa vie. Il a commencé ses leçons de musique dès l’âge de six ans; le plus tôt de ses compositions à survivre dans le manuscrit sont piano fonctionne à partir de 1849.
Bien que principalement connus pour deux de ses œuvres orchestrales, España et Joyeuse marches, il a laissé un important corpus d’opéras (y compris les plus populaires L’étoile), les chansons et la musique du piano ainsi. Ces travaux, bien qu’en petit nombre, sont de très haute qualité, et il était admiré par les compositeurs aussi variés que Debussy, Ravel, Richard Strauss, Satie, Schmitt, Stravinsky, et le groupe de compositeurs connus comme les six. Stravinsky a fait allusion à la Plaza España dans son ballet pour Petrouchka, Ravel a écrit que l’ouverture des bars Le roi malgré lui a changé le cours de l’harmonie en France, Poulenc a écrit une biographie du compositeur, et Richard Strauss a effectué la première scénique de Chabrier incomplet opera Briséïs.
Chabrier a également été associée à certains des plus grands écrivains et des peintres de son temps. Il était particulièrement sympathique avec les peintres Claude Monet et Édouard Manet, et collectées peintures impressionnistes avant l’impressionnisme est devenu à la mode. Un certain nombre de ces peintures provenant de sa collection personnelle sont maintenant logés dans certains des plus grands musées d’art. Chabrier amis de l’avant-garde artistique à Paris inclus Gabriel Fauré, Ernest Chausson, Vincent d’Indy, ainsi que les peintres Henri Fantin-Latour , Edgar Degas, dont ‘jeudi’ soirées Chabrier assisté, et écrivains comme Émile Zola, Alphonse Daudet, Jean Moréas, Jean Richepin, Auguste Villiers de l’ Isle-Adam , ,et Stéphane Mallarmé sur un voyage à Munich avec Henri Duparc en 1879. Il a découvert Wagner du chef- d’oeuvre Tristan und Isolde. Cet événement lui a permis de réaliser sa vraie passion pour la composition et il a quitté le ministère de l’intérieur en 1880. Cette année-là, il a composé son cycle piano Pièces pittoresques, dont l’idylle grandement influencé Francis Poulenc.
Lorsque Emmanuel Chabrier est né en 1841, le siècle avait, jusqu’à présent, produit un seul compositeur français de distinction réelle en la personne de Hector Berlioz, alors âgé de trente-huit et déjà célèbre comme le compositeur de Benvenuto Cellini, Roniéo et Juliette et la Symphonie fantastique. Massenet et Faurh n’étaient pas encore nés et Saint-Saëns était un garçon de six ans. Lors de la génération montante ni Gounod, Franck ni Lab n’a encore produit aucun travaux majeurs. Dix-neuvième siècle la musique française, en fait, n’en était qu’à ses premiers balbutiements et n’était pas destinée à atteindre sa pleine maturité pour un autre cinquante ans, époque à laquelle l’ère de Debussy et Ravel a commencé, et avec elle la naissance de “musique moderne”.
Tandis que Chabrier a grandi, la scène musicale de l’Europe a été dominée par les grandes figures de Brahms et Schumann, Liszt et Wagner; tandis qu’il est intéressant de noter que sa durée de vie de cinquante-trois ans allait presque exactement parallèle à celle de Tchaïkovski, ses hauts de un an, qui également est décédé à l’âge de cinquante-trois. La plupart des critiques seraient d’accord sur ce point, le regretté M. D. Calvocoressi, par exemple, qui avait une connaissance interne de la musique française, appelé Chabrier “le précurseur direct de l’école moderne”, tandis que Francis Poulenc (1961) a déclaré que “Chabrier représente, avec Fauré, Debussy, Ravel, Satie, ce qu’il y a de meilleur dans la musiqueFfrançaise depuis 188o. Le sage et perspicaces Charles Koechlin, l’éminence grise de dont les pieds ont siégé tellement de France compositeurs, n’a pas hésité à déclarer (1930) que “Chabrier n’est pas guéri un grand musicien”.
Il a succombé à une paralysie générale au cours de la dernière année de sa vie, meurt à Paris à l’âge de 53 ans.. Bien qu’il avait demandé à être enterré près du tombeau de Manet, il a été enterré dans le cimetière de Montparnasse.
Chabrier se souvient de son éblouissant couleurs harmonieuses et son commandement de composition orchestrale. Les pièces pour piano il écrivit montrent beaucoup d’originalité et de la beauté. Ses nombreuses lettres survivant donne une image vivante de son caractère, ses idées et sa vie.
Le conservatoire de musique, de danse et de théâtre à Clermont Ferrand est nommé après Chabrier.
Extraits Emmanuel Chabrier et son cercle par Rollo Myers
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